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Demande directe (CEACR) - adoptée 2024, publiée 113ème session CIT (2025)

Articles 1 et 2 de la convention. Formulation et mise en œuvre des politiques et des programmes d’enseignement et de formation professionnels. Coordination avec l’emploi. La commission prend note du document d’orientation élaboré par le Conseil d’enseignement et de formation techniques et professionnels (Conseil EFTP) du ministère de l’Éducation pour la période 2011-2021, qui est annexé au rapport du gouvernement. La commission note, cependant, que ce document a expiré et que le gouvernement indique qu’il est en train de mettre en place une nouvelle politique en matière d’enseignement et de formation techniques et professionnels. La commission prend également note des informations fournies par le gouvernement sur le nombre de participants aux différents programmes d’enseignement et de formation techniques et professionnels. À cet égard, le gouvernement signale que le Conseil EFTP a formé 8 846 personnes au Guyana entre 2018 et mai 2023, dont environ 40 pour cent de femmes. Le gouvernement ajoute qu’en 2022, 119 étudiants se sont inscrits au programme de qualifications professionnelles des Caraïbes, disponibles dans huit écoles du pays. Par ailleurs, le gouvernement indique qu’il a alloué 488,5 millions de dollars du Guyana au Conseil de la formation professionnelle qui est responsable des programmes d’apprentissage au sein du secteur industriel, pour former 7 890 personnes en 2023. Le gouvernement signale en outre qu’entre 2019 et 2022, plus de 281 personnes en situation de handicap ont bénéficié des programmes du Conseil de la formation professionnelle. Celui-ci a également collaboré, en 2022, avec le ministère des Affaires amérindiennes pour former 440 personnes des communautés de l’arrièrepays par le biais du programme consacré à l’entreprenariat et à l’apprentissage des jeunes. Le gouvernement indique également que l’école d’agriculture du Guyana a formé 274 personnes entre 2020 et 2022, dont 50 pour cent de femmes, et devrait encore en former 238 en 2023. La Faculté d’apprentissage en ligne du Guyana a en outre attribué des bourses d’études à environ 21 442 personnes entre 2021 et 2023, les femmes comptant pour 75 pour cent des bénéficiaires. Enfin, le gouvernement indique que l’Institut technique du Centre de compétences de Trinidad et Tobago dans le secteur de l’énergie a signé des déclarations d’intention avec trois instituts techniques du Guyana en vue de collaborer pour répondre aux besoins de formation professionnelle du pays. La commission note, cependant, que le rapport du gouvernement ne contient pas les informations requises concernant l’impact des différents programmes d’orientation et de formation professionnelles sur l’accès des participants à un emploi durable, en particulier dans les zones rurales. Prenant note que le document d’orientation communiqué par le gouvernement a expiré en 2021, la commission prie le gouvernement de fournir des informations actualisées sur l’adoption d’une nouvelle politique d’orientation et de formation professionnelles en étroite relation avec l’emploi, comme indiqué à l’article 1, paragraphe 1 de la convention, et d’indiquer comment les enseignements tirés de la politique précédente se répercutent sur la nouvelle. La commission prie également le gouvernement de continuer à fournir des informations détaillées et actualisées, y compris des données statistiques ventilées par âge et par sexe, sur le nombre de participants aux différents programmes d’orientation et de formation professionnelles mis à disposition par le gouvernement. Enfin, la commission prie à nouveau le gouvernement de recueillir des informations sur l’impact de ces programmes, en particulier s’agissant de l’accès des participants à un emploi durable, notamment dans les zones rurales.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes. La commission prend note des informations fournies par le gouvernement concernant la formation professionnelle de catégories particulières de personnes dans son rapport sur la présente convention et dans celui relatif à la convention (no 140) sur le congééducation payé, 1974. La commission prend note de ces informations, qui répondent à sa demande précédente.
Emploi et formation des jeunes. Le gouvernement signale que 13 860 jeunes ont participé au Programme national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTPYE) et ont ainsi bénéficié d’une formation sur différents thèmes comme les installations électriques, la sécurité incendie, le leadership, etc. Le gouvernement indique en outre que plus de 100 jeunes diplômés ont participé au programme d’entreprenariat en matière d’agriculture et d’innovation lancé en 2022 et visant à encourager les jeunes à poursuivre une carrière dans l’agriculture. Le gouvernement souligne aussi la création d’un conseil consultatif des jeunes du Président qui facilite la participation des jeunes aux activités du gouvernement dans différents domaines, comme l’éducation. La commission note l’indication du gouvernement selon laquelle il n’existe aucune étude consacrée à l’impact des programmes sur l’employabilité et l’emploi des jeunes qui en ont bénéficié. La commission fait référence à son commentaire au titre de la convention (no 2) sur le chômage (1919), dans lequel elle note que le chômage des jeunes reste élevé au Guyana, et prie le gouvernement de continuer à fournir des informations sur les mesures prises en particulier pour encourager et garantir l’accès des jeunes à l’orientation et la formation professionnelles. Enfin, la commission prie à nouveau le gouvernement de fournir des informations sur les résultats obtenus dans le cadre de ces mesures en termes d’amélioration de l’employabilité et de l’emploi des jeunes.
Personnes en situation de handicap dans l’emploi et la formation. Le gouvernement signale qu’entre 2019 et 2022, le Conseil de la formation professionnelle a enregistré 281 apprentis en situation de handicap. Cependant, la commission prend note que le gouvernement ne fournit pas d’information sur les mesures qui sont prises en particulier pour encourager et garantir l’accès des personnes en situation de handicap à l’orientation et la formation professionnelles. La commission rappelle qu’aux termes de l’article 1, paragraphe 5 de la convention, «les politiques et programmes [d’orientation et de formation professionnelles] devront encourager et aider toutes personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles dans leur propre intérêt et conformément à leurs aspirations, tout en tenant compte des besoins de la société». La commission rappelle également que, selon le paragraphe 5, alinéa h) de la recommandation (no 195) sur la mise en valeur des ressources humaines, 2004, les Membres sont appelés à promouvoir l’accès à l’éducation et à la formation tout au long de la vie des personnes ayant des besoins spécifiques identifiés dans chaque pays, comme les personnes handicapées. La commission prie à nouveau le gouvernement de fournir des informations sur les mesures spécifiques adoptées ou envisagées pour encourager et garantir l’accès des personnes en situation de handicap à l’orientation et la formation professionnelles. La commission prie également à nouveau le gouvernement de fournir des informations, dont des données statistiques, sur l’impact de ces mesures sur l’emploi des personnes en situation de handicap.
Femmes dans l’emploi et la formation. La commission note le renvoi du gouvernement à l’article 19F de la Constitution, qui garantit à chaque femme le même accès que les hommes à la formation scolaire et professionnelle. Le gouvernement indique que cette disposition constitutionnelle prévaut sur le droit guyanais, y compris l’article 3, paragraphe 1 de la loi sur la formation professionnelle qui fait uniquement référence aux apprentis (garçons). Le gouvernement ajoute que, malgré le libellé de l’article 3, paragraphe 1, de la loi sur la formation professionnelle, le Conseil de la formation professionnelle a observé une nette augmentation du nombre de femmes participant aux programmes d’apprentissage. Le gouvernement indique en effet qu’entre 2020 et 2022, ce Conseil a enregistré 5 936 femmes apprenties, soit environ 69 pour cent de tous les apprentis pour la période donnée. Le gouvernement indique également qu’en 2022, le Conseil de la formation professionnelle a collaboré avec l’Agence de l’énergie du Guyana dans le but de former 200 femmes (y compris en situation de handicap) à la construction et l’entretien de matériel photovoltaïque. Le gouvernement signale par ailleurs que le Conseil de la formation professionnelle a piloté plusieurs programmes du Conseil EFTP auxquels les femmes ont davantage participé que les hommes. Environ 70 pour cent des bourses octroyées par la Faculté d’apprentissage en ligne du Guyana ont été attribuées à des femmes. La commission salue la hausse de la participation des femmes aux programmes de formation professionnelle citée par le gouvernement. Cependant, elle note que le gouvernement ne fournit pas d’information sur les mesures particulières adoptées pour encourager l’égalité des chances et de traitement des femmes en matière d’accès à l’orientation et à la formation professionnelles, tel que requis à l’article 1, paragraphe 5 de la convention. La commission note également que, dans ses observations finales du 30 juillet 2019, le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes s’est dit préoccupé par: a) les disparités de genre et ethniques dans l’enseignement technique et professionnel, dues à l’absence de centres de formation dans certaines régions; et b) la persistance des disparités de genre dans le choix des filières dans l’enseignement supérieur, à cause du faible taux d’inscription des femmes et des filles dans des disciplines non traditionnelles comme les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (document CEDAW/C/GUY/CO/9, paragraphe 35.c) et d)). Au vu de ce qui précède, la commission prie à nouveau le gouvernement de fournir des informations sur les mesures spécifiques prises ou envisagées pour encourager l’égalité de chances et de traitement des femmes et des hommes en matière d’accès à l’orientation et la formation professionnelles dans toutes les branches d’activité économique et à tous les niveaux de compétence et de responsabilité. À cet égard, la commission réitère au gouvernement son invitation, formulée initialement dans ses commentaires de 2022 au titre de la convention (no 140) sur le congé-éducation payé, 1974, à envisager de modifier l’article 3, paragraphe 1 de la loi sur la formation professionnelle afin de faire expressément référence aux apprentis hommes et femmes. Enfin, la commission prie le gouvernement de fournir des informations, y compris des données statistiques, concernant l’impact sur l’emploi des femmes des mesures prises pour encourager l’orientation et la formation professionnelles.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. Le gouvernement indique que, conformément à l’article 3, paragraphe 2 de la loi no 11 de 2004 sur l’enseignement et la formation techniques et professionnels, les membres du Conseil EFTP sont nommés par des organisations, notamment des organisations professionnelles, de l’industrie, du commerce, d’employeurs et de travailleurs. Le gouvernement indique que cette disposition est scrupuleusement respectée dans la pratique, garantissant ainsi la représentation des organisations d’employeurs comme de travailleurs au Conseil EFTP. Le gouvernement ajoute qu’il est en train de mettre en place une nouvelle politique en matière d’enseignement et de formation techniques et professionnels en collaboration avec ces organisations. La commission note que la version de la loi sur l’enseignement et la formation techniques et professionnels disponible sur le site Web du Parlement du Guyana est différente de celle fournie par le gouvernement dans son rapport, y compris concernant l’article 3, paragraphe 2 de la constitution du Conseil EFTP. La version disponible en ligne dispose que le Conseil EFTP comprend deux personnes représentant des organismes établis pour promouvoir les intérêts des enseignants et deux autres représentant des organismes défendant les intérêts des employeurs. Par conséquent, la commission prie le gouvernement de fournir des éclaircissements sur ces deux versions en indiquant laquelle est en vigueur et s’applique à la constitution du Conseil EFTP. La commission prie également le gouvernement de fournir des informations détaillées sur la façon dont la participation des partenaires sociaux est garantie dans la formulation et la mise en œuvre de la nouvelle politique en matière d’orientation et de formation professionnelles.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2019, publiée 109ème session CIT (2021)

Articles 1 et 2 de la convention. Formulation et mise en œuvre des politiques et des programmes d’enseignement et de formation professionnels. Coordination avec l’emploi. En réponse au précédent commentaire de la commission, le gouvernement indique que les services chargés de l’élaboration de programmes complets de formation professionnelle sont le Conseil pour l’enseignement et la formation techniques et professionnels (Conseil EFTP), ainsi que le Conseil de la formation professionnelle (BIT). Les politiques de développement des ressources humaines sont destinées à répondre à l’évolution des demandes en main-d’œuvre qualifiée par le biais d’un enseignement et d’une formation assurés pendant et après l’école secondaire, développer les compétences requises pour permettre une transition réussie entre l’école et le travail et offrir à tous des opportunités d’enseignement et de formation. A cela, le gouvernement ajoute que les systèmes nationaux d’enseignement technique et professionnel en place font partie du système d’enseignement national. Les informations relatives aux programmes d’enseignement et de formation professionnels sont diffusées grâce aux institutions nationales existantes, des organismes hôtes et les médias. Le gouvernement indique en outre qu’il procède actuellement à la mise au point de deux types de programmes d’orientation et de formation professionnelles, à savoir: des programmes d’apprentissage traditionnels, qui durent entre deux et quatre ans; et un programme plus contemporain, intitulé Programme national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTPYE), qui est communautaire et centré sur le développement rural. Le gouvernement indique que ces deux programmes relèvent du Conseil du BIT. Les masters prévus dans le cadre des programmes traditionnels d’apprentissage fournissent des informations sur la formation, les perspectives d’emploi et l’orientation professionnelle, par le biais d’institutions existantes telles que l’Institut technique et gouvernemental, le Nouvel Institut d’Amsterdam, le Centre de formation professionnelle de Guyana, et d’autres centres. La commission note que le NTPYE offre des orientations et une formation professionnelles dans des disciplines à la fois traditionnelles et non traditionnelles, telles que l’économie domestique, l’habillement, la construction, la sylviculture, la gestion et la supervision et les technologies de l’information. La commission note que, avant la mise en place d’un nouveau programme de formation professionnelle, le gouvernement procède à une analyse des besoins dans des contextes spécifiques, afin de veiller à ce que le nouveau programme réponde bien aux besoins des communautés concernées. Elle note en outre que le site Web du gouvernement indique que les institutions d’enseignement et de formation techniques et professionnels de Guyana offrent depuis 2016 un système de qualifications professionnelles des Caraïbes (CVQ) dans des domaines tels que l’ingénierie, la menuiserie ou la conception graphique. La commission prie le gouvernement de fournir des informations, y compris des données statistiques ventilées par âge et par sexe, concernant le nombre de participants aux différents programmes d’orientation et de formation professionnelles mis à disposition par le gouvernement, notamment le système de qualifications professionnelles des Caraïbes (CVQ) et, en particulier, concernant leur impact sur l’accès des participants à un emploi durable, tout particulièrement dans les zones rurales. De plus, la commission demande à nouveau au gouvernement de communiquer une copie du document d’orientation élaboré par le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes par le système de formation professionnelle. Répondant aux précédents commentaires de la commission, le gouvernement informe que le NTPYE fournit des orientations et une formation professionnelles aux personnes handicapées. La commission note toutefois que le gouvernement ne donne aucune information précise sur les résultats du NTYPE, du Programme destiné aux parents célibataires ou d’autres programmes d’orientation et de formation professionnelles pour des catégories spécifiques de travailleurs rencontrant des difficultés particulières dans l’obtention d’un emploi, tels que les jeunes, les femmes célibataires et les personnes handicapées. La commission demande au gouvernement de fournir des informations, y compris des statistiques ventilées par âge et par sexe, sur le contenu et la portée des programmes, leur mise en œuvre et les résultats obtenus concernant la formation et l’orientation professionnelles offertes aux jeunes, aux femmes et aux personnes handicapées, dans le contexte, en particulier, de la nécessité d’accroître leur employabilité.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. Selon les indications du gouvernement, la politique de 2010-11 sur l’enseignement et la formation techniques et professionnels faisait état de la proposition concernant la participation des partenaires sociaux dans le développement et la mise en œuvre des politiques d’enseignement et de formation, mais aucune information n’est disponible qui permette d’évaluer dans quelle mesure cette proposition a été mise en œuvre. Notant que le gouvernement n’a fourni aucune information actualisée à ce sujet, la commission renouvelle sa demande auprès du gouvernement pour qu’il indique si les organisations d’employeurs et de travailleurs sont représentées au sein du Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels, ainsi que sur la manière dont il s’assure que la formulation et la mise en œuvre des politiques et des programmes d’orientation et de formation professionnelles sont réalisées en collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs et les autres organismes intéressés, tel que prescrit par la convention.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2017, publiée 107ème session CIT (2018)

La commission note avec profonde préoccupation que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle s’attend à ce que le prochain rapport fournisse des informations complètes sur les points soulevés dans ses précédents commentaires initialement formulés en 2012. La commission note également que le gouvernement a été prié de fournir des informations à la Commission de l’application des normes à la 106e session de la Conférence internationale du Travail, en raison de manquements à l’envoi de rapports et d’informations sur l’application des conventions ratifiées.
Répétition
Article 1 de la convention. Politiques et programmes. Le gouvernement indique qu’il a réalisé un progrès important dans l’adoption et la mise en œuvre de politiques complètes et coordonnées et de programmes d’orientation et de formation professionnelles liés à l’emploi dans le cadre de l’Agence centrale de recrutement et de placement (CRMA). Le ministère du Travail collabore, par l’intermédiaire du Conseil de la formation professionnelle (BIT), avec d’autres secteurs et institutions pour fournir un enseignement et une formation professionnels. Le gouvernement indique que le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels a présenté un document d’orientation, qui est examiné par les parties prenantes. Ledit conseil élabore également des stratégies destinées à uniformiser les différents niveaux d’enseignement et de formation techniques et professionnels dans le pays. La commission se réfère à son étude d’ensemble de 2010 sur les instruments relatifs à l’emploi, dans laquelle elle rappelle que les termes «politiques et programmes» visés par l’article 1, paragraphe 1, de la convention impliquent la mise en place d’une stratégie sous la forme de politiques se concrétisant grâce à des programmes (étude d’ensemble de 2010, paragr. 145). La commission invite le gouvernement à fournir des informations détaillées sur les politiques et programmes d’orientation professionnelle et de formation professionnelle adoptés et sur leur application. Prière de communiquer aussi une copie du document d’orientation élaboré par le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes par le système de formation professionnelle. La commission note que, en vertu du Projet national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTYPE), les jeunes filles et les jeunes garçons reçoivent une formation dans des domaines tels que l’informatique, la pharmacie, la cosmétologie, la soudure, la climatisation et la réfrigération et la technologie de l’information. En vertu du Programme relatif aux familles monoparentales, plusieurs femmes ont bénéficié d’une formation dans des domaines tels que la cosmétologie, la restauration, la confection de vêtements et le travail de bureau. Le gouvernement indique qu’un programme est en cours pour donner une formation à des jeunes femmes et des mères célibataires dans des disciplines qui les intéressent en vue d’assurer leur autonomisation. La commission demande au gouvernement de continuer à fournir des informations sur la mise en œuvre de projets et de programmes en conformité avec l’article 1, paragraphe 5, de la convention.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. La commission demande au gouvernement d’indiquer si les organisations d’employeurs et de travailleurs sont représentées au sein du Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels et, sinon, comment ils participent à la formulation et à la mise en œuvre des politiques et programmes d’orientation et de formation professionnelles.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2016, publiée 106ème session CIT (2017)

La commission note avec préoccupation que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle s’attend à ce que le prochain rapport fournisse des informations complètes sur les points soulevés dans ses précédents commentaires.
Répétition
Article 1 de la convention. Politiques et programmes. Le gouvernement indique qu’il a réalisé un progrès important dans l’adoption et la mise en œuvre de politiques complètes et coordonnées et de programmes d’orientation et de formation professionnelles liés à l’emploi dans le cadre de l’Agence centrale de recrutement et de placement (CRMA). Le ministère du Travail collabore, par l’intermédiaire du Conseil de la formation professionnelle (BIT), avec d’autres secteurs et institutions pour fournir un enseignement et une formation professionnels. Le gouvernement indique que le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels a présenté un document d’orientation, qui est examiné par les parties prenantes. Ledit conseil élabore également des stratégies destinées à uniformiser les différents niveaux d’enseignement et de formation techniques et professionnels dans le pays. La commission se réfère à son étude d’ensemble de 2010 sur les instruments relatifs à l’emploi, dans laquelle elle rappelle que les termes «politiques et programmes» visés par l’article 1, paragraphe 1, de la convention impliquent la mise en place d’une stratégie sous la forme de politiques se concrétisant grâce à des programmes (étude d’ensemble de 2010, paragr. 145). La commission invite le gouvernement à fournir des informations détaillées sur les politiques et programmes d’orientation professionnelle et de formation professionnelle adoptés et sur leur application. Prière de communiquer aussi une copie du document d’orientation élaboré par le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes par le système de formation professionnelle. La commission note que, en vertu du Projet national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTYPE), les jeunes filles et les jeunes garçons reçoivent une formation dans des domaines tels que l’informatique, la pharmacie, la cosmétologie, la soudure, la climatisation et la réfrigération et la technologie de l’information. En vertu du Programme relatif aux familles monoparentales, plusieurs femmes ont bénéficié d’une formation dans des domaines tels que la cosmétologie, la restauration, la confection de vêtements et le travail de bureau. Le gouvernement indique qu’un programme est en cours pour donner une formation à des jeunes femmes et des mères célibataires dans des disciplines qui les intéressent en vue d’assurer leur autonomisation. La commission demande au gouvernement de continuer à fournir des informations sur la mise en œuvre de projets et de programmes en conformité avec l’article 1, paragraphe 5, de la convention.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. La commission demande au gouvernement d’indiquer si les organisations d’employeurs et de travailleurs sont représentées au sein du Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels et, sinon, comment ils participent à la formulation et à la mise en œuvre des politiques et programmes d’orientation et de formation professionnelles.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2015, publiée 105ème session CIT (2016)

La commission note avec regret que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle exprime sa préoccupation à cet égard. Elle espère que le prochain rapport fournira des informations complètes sur les points soulevés dans ses précédents commentaires.
Répétition
Article 1 de la convention. Politiques et programmes. La commission prend note du rapport du gouvernement reçu en mai 2012 en réponse à ses commentaires antérieurs. Le gouvernement indique qu’il a réalisé un progrès important dans l’adoption et la mise en œuvre de politiques complètes et coordonnées et de programmes d’orientation et de formation professionnelles liés à l’emploi dans le cadre de l’Agence centrale de recrutement et de placement (CRMA). Le ministère du Travail collabore, par l’intermédiaire du Conseil de la formation professionnelle (BIT), avec d’autres secteurs et institutions pour fournir un enseignement et une formation professionnels. Le gouvernement indique que le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels a présenté un document d’orientation, qui est examiné par les parties prenantes. Ledit conseil élabore également des stratégies destinées à uniformiser les différents niveaux d’enseignement et de formation techniques et professionnels dans le pays. La commission se réfère à son étude d’ensemble de 2010 sur les instruments relatifs à l’emploi, dans laquelle elle rappelle que les termes «politiques et programmes» visés par l’article 1, paragraphe 1, de la convention impliquent la mise en place d’une stratégie sous la forme de politiques se concrétisant grâce à des programmes (étude d’ensemble de 2010, paragr. 145). La commission invite le gouvernement à fournir des informations détaillées sur les politiques et programmes d’orientation professionnelle et de formation professionnelle adoptés et sur leur application. Prière de communiquer aussi une copie du document d’orientation élaboré par le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes par le système de formation professionnelle. La commission note que, en vertu du Projet national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTYPE), les jeunes filles et les jeunes garçons reçoivent une formation dans des domaines tels que l’informatique, la pharmacie, la cosmétologie, la soudure, la climatisation et la réfrigération et la technologie de l’information. En vertu du Programme relatif aux familles monoparentales, plusieurs femmes ont bénéficié d’une formation dans des domaines tels que la cosmétologie, la restauration, la confection de vêtements et le travail de bureau. Le gouvernement indique qu’un programme est en cours pour donner une formation à des jeunes femmes et des mères célibataires dans des disciplines qui les intéressent en vue d’assurer leur autonomisation. La commission demande au gouvernement de continuer à fournir des informations sur la mise en œuvre de projets et de programmes en conformité avec l’article 1, paragraphe 5, de la convention.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. La commission demande au gouvernement d’indiquer si les organisations d’employeurs et de travailleurs sont représentées au sein du Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels et, sinon, comment ils participent à la formulation et à la mise en œuvre des politiques et programmes d’orientation et de formation professionnelles.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2014, publiée 104ème session CIT (2015)

La commission note avec regret que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle espère qu’un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu’il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans ses précédents commentaires.
Répétition
Article 1 de la convention. Politiques et programmes. La commission prend note du rapport du gouvernement reçu en mai 2012 en réponse à ses commentaires antérieurs. Le gouvernement indique qu’il a réalisé un progrès important dans l’adoption et la mise en œuvre de politiques complètes et coordonnées et de programmes d’orientation et de formation professionnelles liés à l’emploi dans le cadre de l’Agence centrale de recrutement et de placement (CRMA). Le ministère du Travail collabore, par l’intermédiaire du Conseil de la formation professionnelle (BIT), avec d’autres secteurs et institutions pour fournir un enseignement et une formation professionnels. Le gouvernement indique que le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels a présenté un document d’orientation, qui est examiné par les parties prenantes. Ledit conseil élabore également des stratégies destinées à uniformiser les différents niveaux d’enseignement et de formation techniques et professionnels dans le pays. La commission se réfère à son étude d’ensemble de 2010 sur les instruments relatifs à l’emploi, dans laquelle elle rappelle que les termes «politiques et programmes» visés par l’article 1, paragraphe 1, de la convention impliquent la mise en place d’une stratégie sous la forme de politiques se concrétisant grâce à des programmes (étude d’ensemble de 2010, paragr. 145). La commission invite le gouvernement à fournir des informations détaillées sur les politiques et programmes d’orientation professionnelle et de formation professionnelle adoptés et sur leur application. Prière de communiquer aussi une copie du document d’orientation élaboré par le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes par le système de formation professionnelle. La commission note que, en vertu du Projet national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTYPE), les jeunes filles et les jeunes garçons reçoivent une formation dans des domaines tels que l’informatique, la pharmacie, la cosmétologie, la soudure, la climatisation et la réfrigération et la technologie de l’information. En vertu du Programme relatif aux familles monoparentales, plusieurs femmes ont bénéficié d’une formation dans des domaines tels que la cosmétologie, la restauration, la confection de vêtements et le travail de bureau. Le gouvernement indique qu’un programme est en cours pour donner une formation à des jeunes femmes et des mères célibataires dans des disciplines qui les intéressent en vue d’assurer leur autonomisation. La commission demande au gouvernement de continuer à fournir des informations sur la mise en œuvre de projets et de programmes en conformité avec l’article 1, paragraphe 5, de la convention.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. La commission demande au gouvernement d’indiquer si les organisations d’employeurs et de travailleurs sont représentées au sein du Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels et, sinon, comment ils participent à la formulation et à la mise en œuvre des politiques et programmes d’orientation et de formation professionnelles.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2013, publiée 103ème session CIT (2014)

La commission note que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle espère qu’un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu’il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa demande directe de 2012, qui était conçue dans les termes suivants:
Répétition
Article 1 de la convention. Politiques et programmes. La commission prend note du rapport du gouvernement reçu en mai 2012 en réponse à ses commentaires antérieurs. Le gouvernement indique qu’il a réalisé un progrès important dans l’adoption et la mise en œuvre de politiques complètes et coordonnées et de programmes d’orientation et de formation professionnelles liés à l’emploi dans le cadre de l’Agence centrale de recrutement et de placement (CRMA). Le ministère du Travail collabore, par l’intermédiaire du Conseil de la formation professionnelle (BIT), avec d’autres secteurs et institutions pour fournir un enseignement et une formation professionnels. Le gouvernement indique que le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels a présenté un document d’orientation, qui est examiné par les parties prenantes. Ledit conseil élabore également des stratégies destinées à uniformiser les différents niveaux d’enseignement et de formation techniques et professionnels dans le pays. La commission se réfère à son étude d’ensemble de 2010 sur les instruments relatifs à l’emploi, dans laquelle elle rappelle que les termes «politiques et programmes» visés par l’article 1, paragraphe 1, de la convention impliquent la mise en place d’une stratégie sous la forme de politiques se concrétisant grâce à des programmes (étude d’ensemble de 2010, paragr. 145). La commission invite le gouvernement à fournir des informations détaillées sur les politiques et programmes d’orientation professionnelle et de formation professionnelle adoptés et sur leur application. Prière de communiquer aussi une copie du document d’orientation élaboré par le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes par le système de formation professionnelle. La commission note que, en vertu du Projet national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTYPE), les jeunes filles et les jeunes garçons reçoivent une formation dans des domaines tels que l’informatique, la pharmacie, la cosmétologie, la soudure, la climatisation et la réfrigération et la technologie de l’information. En vertu du Programme relatif aux familles monoparentales, plusieurs femmes ont bénéficié d’une formation dans des domaines tels que la cosmétologie, la restauration, la confection de vêtements et le travail de bureau. Le gouvernement indique qu’un programme est en cours pour donner une formation à des jeunes femmes et des mères célibataires dans des disciplines qui les intéressent en vue d’assurer leur autonomisation. La commission demande au gouvernement de continuer à fournir des informations sur la mise en œuvre de projets et de programmes en conformité avec l’article 1, paragraphe 5, de la convention.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. La commission demande au gouvernement d’indiquer si les organisations d’employeurs et de travailleurs sont représentées au sein du Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels et, sinon, comment ils participent à la formulation et à la mise en œuvre des politiques et programmes d’orientation et de formation professionnelles.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2012, publiée 102ème session CIT (2013)

Article 1 de la convention. Politiques et programmes. La commission prend note du rapport du gouvernement reçu en mai 2012 en réponse à ses commentaires antérieurs. Le gouvernement indique qu’il a réalisé un progrès important dans l’adoption et la mise en œuvre de politiques complètes et coordonnées et de programmes d’orientation et de formation professionnelles liés à l’emploi dans le cadre de l’Agence centrale de recrutement et de placement (CRMA). Le ministère du Travail collabore, par l’intermédiaire du Conseil de la formation professionnelle (BIT), avec d’autres secteurs et institutions pour fournir un enseignement et une formation professionnels. Le gouvernement indique que le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels a présenté un document d’orientation, qui est examiné par les parties prenantes. Ledit conseil élabore également des stratégies destinées à uniformiser les différents niveaux d’enseignement et de formation techniques et professionnels dans le pays. La commission se réfère à son étude d’ensemble de 2010 sur les instruments relatifs à l’emploi, dans laquelle elle rappelle que les termes «politiques et programmes» visés par l’article 1, paragraphe 1, de la convention impliquent la mise en place d’une stratégie sous la forme de politiques se concrétisant grâce à des programmes (étude d’ensemble de 2010, paragr. 145). La commission invite le gouvernement à fournir des informations détaillées sur les politiques et programmes d’orientation professionnelle et de formation professionnelle adoptés et sur leur application. Prière de communiquer aussi une copie du document d’orientation élaboré par le Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels.
Article 1, paragraphe 5. Couverture de catégories particulières de personnes par le système de formation professionnelle. La commission note que, en vertu du Projet national de formation destiné à l’autonomisation des jeunes (NTYPE), les jeunes filles et les jeunes garçons reçoivent une formation dans des domaines tels que l’informatique, la pharmacie, la cosmétologie, la soudure, la climatisation et la réfrigération et la technologie de l’information. En vertu du Programme relatif aux familles monoparentales, plusieurs femmes ont bénéficié d’une formation dans des domaines tels que la cosmétologie, la restauration, la confection de vêtements et le travail de bureau. Le gouvernement indique qu’un programme est en cours pour donner une formation à des jeunes femmes et des mères célibataires dans des disciplines qui les intéressent en vue d’assurer leur autonomisation. La commission demande au gouvernement de continuer à fournir des informations sur la mise en œuvre de projets et de programmes en conformité avec l’article 1, paragraphe 5, de la convention.
Article 5. Collaboration avec les organisations d’employeurs et de travailleurs. La commission demande au gouvernement d’indiquer si les organisations d’employeurs et de travailleurs sont représentées au sein du Conseil de l’enseignement et de la formation techniques et professionnels et, sinon, comment ils participent à la formulation et à la mise en œuvre des politiques et programmes d’orientation et de formation professionnelles.

Observation (CEACR) - adoptée 2011, publiée 101ème session CIT (2012)

La commission note avec regret que le gouvernement n’a pas fourni d’information sur l’application de la convention depuis son dernier rapport, reçu en 2003.
Répétition
Article 1 de la convention. La commission rappelle la réponse du gouvernement à sa demande directe de 1999 concernant les modifications proposées au projet de législation tendant à la création du Conseil national de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle. La commission saurait gré au gouvernement de la tenir informée de tout progrès réalisé dans le sens de l’adoption et du développement de politiques et de programmes complets et concertés d’orientation et de formation professionnelles en établissant, en particulier grâce aux services publics de l’emploi, une relation étroite entre l’orientation et la formation professionnelles et l’emploi, comme prévu à l’article 1 de la convention.
Article 1, paragraphe 5. La commission se réfère à ses précédents commentaires concernant les politiques et programmes du gouvernement tendant à aider toutes les personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles dans leur propre intérêt et conformément à leurs aspirations, tout en tenant compte des besoins de la société. La commission prie le gouvernement de continuer de fournir des informations pratiques sur la mise en œuvre de ces projets et programmes ainsi que sur les difficultés rencontrées et les progrès accomplis pour encourager et aider toutes personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles, comme prévu à l’article 1, paragraphe 5, de la convention. Prière également d’y inclure des informations sur les initiatives tendant à encourager la formation professionnelle des femmes en indiquant le type de formation suivie et leur pourcentage.
Article 5. La commission prie le gouvernement d’indiquer de quelle manière la collaboration des organisations d’employeurs et de travailleurs et, le cas échéant, d’autres organismes intéressés est assurée dans l’élaboration et l’application des politiques et des programmes d’orientation et de formation professionnelles indiquant, par exemple, la manière dont ils ont participé à l’élaboration et à la mise en œuvre des programmes et des projets cités ci-dessus.
Prière de fournir tous extraits, rapports ou autres éléments disponibles concernant les politiques et programmes de formation destinés à des zones déterminées ou à des branches particulières de l’activité économique ou à des groupes particuliers de la population, comme demandé dans le Point VI du formulaire de rapport.
La commission espère que le gouvernement fera tout son possible pour prendre les mesures nécessaires dans un proche avenir.

Observation (CEACR) - adoptée 2010, publiée 100ème session CIT (2011)

La commission note avec regret que le gouvernement n’a pas fourni d’information sur l’application de la convention depuis son dernier rapport, reçu en 2003.

Article 1 de la convention. La commission rappelle la réponse du gouvernement à sa demande directe de 1999 concernant les modifications proposées au projet de législation tendant à la création du Conseil national de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle. La commission saurait gré au gouvernement de la tenir informée de tout progrès réalisé dans le sens de l’adoption et du développement de politiques et de programmes complets et concertés d’orientation et de formation professionnelles en établissant, en particulier grâce aux services publics de l’emploi, une relation étroite entre l’orientation et la formation professionnelles et l’emploi, comme prévu à l’article 1 de la convention.

Article 1, paragraphe 5.La commission se réfère à ses précédents commentaires concernant les politiques et programmes du gouvernement tendant à aider toutes les personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles dans leur propre intérêt et conformément à leurs aspirations, tout en tenant compte des besoins de la société. La commission prie le gouvernement de continuer de fournir des informations pratiques sur la mise en œuvre de ces projets et programmes ainsi que sur les difficultés rencontrées et les progrès accomplis pour encourager et aider toutes personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles, comme prévu à l’article 1, paragraphe 5, de la convention. Prière également d’y inclure des informations sur les initiatives tendant à encourager la formation professionnelle des femmes en indiquant le type de formation suivie et leur pourcentage.

Article 5.La commission prie le gouvernement d’indiquer de quelle manière la collaboration des organisations d’employeurs et de travailleurs et, le cas échéant, d’autres organismes intéressés est assurée dans l’élaboration et l’application des politiques et des programmes d’orientation et de formation professionnelles indiquant, par exemple, la manière dont ils ont participé à l’élaboration et à la mise en œuvre des programmes et des projets cités ci-dessus.

Prière de fournir tous extraits, rapports ou autres éléments disponibles concernant les politiques et programmes de formation destinés à des zones déterminées ou à des branches particulières de l’activité économique ou à des groupes particuliers de la population, comme demandé dans le Point VI du formulaire de rapport.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2009, publiée 99ème session CIT (2010)

La commission note avec regret que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle espère qu’un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu’il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:

1. Article 1 de la convention. En réponse à sa demande directe de 1999, le gouvernement indique qu’en raison des modifications qui ont été proposées au projet de législation tendant à la création du Conseil national de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle le texte doit être modifié et soumis à nouveau au Parlement. La commission saurait gré au gouvernement de continuer de la tenir informée sur les mesures prises en vue de la mise en œuvre de la convention par l’adoption des mesures législatives. Elle le prie également de faire connaître tout progrès réalisé dans le sens de l’adoption et du développement de politiques et de programmes complets et concertés d’orientation et de formation professionnelles en établissant, en particulier grâce aux services publics de l’emploi, une relation étroite entre l’orientation et la formation professionnelles et l’emploi, comme prévu à l’article 1 de la convention.

2. Article 1, paragraphe 5.La commission a pris note avec intérêt du rapport d’activités pour la période janvier-juin 2003 de l’Association pour l’éducation des adultes, du programme de formation de l’Association consultative de l’industrie de Guyana (CAGI) pour l’année 2003 et du premier rapport annuel du projet de l’Agence de formation de Guyana (2002) financé par le Fonds européen de développement, avec des contributions du secteur privé et soutenu par le gouvernement de Guyana. La commission prie le gouvernement de continuer de fournir des informations pratiques sur la mise en œuvre de ces projets et programmes ainsi que sur les difficultés rencontrées et les progrès accomplis pour encourager et aider toutes personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles, comme prévu à l’article 1, paragraphe 5, de la convention. Prière également d’y inclure des informations sur les initiatives tendant à encourager la formation professionnelle des femmes en indiquant le type de formation suivie et leur pourcentage.

3. Article 5.La commission prie le gouvernement d’indiquer de quelle manière la collaboration des organisations d’employeurs et de travailleurs et, le cas échéant, d’autres organismes intéressés est assurée dans l’élaboration et l’application des politiques et des programmes d’orientation et de formation professionnelles indiquant, par exemple, la manière dont ils ont participé à l’élaboration et à la mise en œuvre des programmes et des projets cités ci-dessus.

4. Prière de fournir tous extraits, rapports ou autres éléments disponibles concernant les politiques et programmes de formation destinés à des zones déterminées ou à des branches particulières de l’activité économique ou à des groupes particuliers de la population, comme demandé dans le Point VI du formulaire de rapport.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2008, publiée 98ème session CIT (2009)

La commission note que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle espère qu’un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu’il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:

1. Article 1 de la convention. En réponse à sa demande directe de 1999, le gouvernement indique qu’en raison des modifications qui ont été proposées au projet de législation tendant à la création du Conseil national de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle le texte doit être modifié et soumis à nouveau au Parlement. La commission saurait gré au gouvernement de continuer de la tenir informée sur les mesures prises en vue de la mise en œuvre de la convention par l’adoption des mesures législatives. Elle le prie également de faire connaître tout progrès réalisé dans le sens de l’adoption et du développement de politiques et de programmes complets et concertés d’orientation et de formation professionnelles en établissant, en particulier grâce aux services publics de l’emploi, une relation étroite entre l’orientation et la formation professionnelles et l’emploi, comme prévu à l’article 1 de la convention.

2. Article 1, paragraphe 5.La commission a pris note avec intérêt du rapport d’activités pour la période janvier-juin 2003 de l’Association pour l’éducation des adultes, du programme de formation de l’Association consultative de l’industrie de Guyana (CAGI) pour l’année 2003 et du premier rapport annuel du projet de l’Agence de formation de Guyana (2002) financé par le Fonds européen de développement, avec des contributions du secteur privé et soutenu par le gouvernement de Guyana. La commission prie le gouvernement de continuer de fournir des informations pratiques sur la mise en œuvre de ces projets et programmes ainsi que sur les difficultés rencontrées et les progrès accomplis pour encourager et aider toutes personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles, comme prévu à l’article 1, paragraphe 5, de la convention. Prière également d’y inclure des informations sur les initiatives tendant à encourager la formation professionnelle des femmes en indiquant le type de formation suivie et leur pourcentage.

3. Article 5. La commission prie le gouvernement d’indiquer de quelle manière la collaboration des organisations d’employeurs et de travailleurs et, le cas échéant, d’autres organismes intéressés est assurée dans l’élaboration et l’application des politiques et des programmes d’orientation et de formation professionnelles indiquant, par exemple, la manière dont ils ont participé à l’élaboration et à la mise en œuvre des programmes et des projets cités ci-dessus.

4. Prière de fournir tous extraits, rapports ou autres éléments disponibles concernant les politiques et programmes de formation destinés à des zones déterminées ou à des branches particulières de l’activité économique ou à des groupes particuliers de la population, comme demandé dans le Point VI du formulaire de rapport.

Demande directe (CEACR) - adoptée 2003, publiée 92ème session CIT (2004)

1. Article 1 de la convention. En réponse à sa demande directe de 1999, le gouvernement indique qu’en raison des modifications qui ont été proposées au projet de législation tendant à la création du Conseil national de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle le texte doit être modifié et soumis à nouveau au Parlement. La commission saurait gré au gouvernement de continuer de la tenir informée sur les mesures prises en vue de la mise en œuvre de la convention par l’adoption des mesures législatives. Elle le prie également de faire connaître tout progrès réalisé dans le sens de l’adoption et du développement de politiques et de programmes complets et concertés d’orientation et de formation professionnelles en établissant, en particulier grâce aux services publics de l’emploi, une relation étroite entre l’orientation et la formation professionnelles et l’emploi, comme prévu à l’article 1 de la convention.

2. La commission a pris note avec intérêt du rapport d’activités pour la période janvier-juin 2003 de l’Association pour l’éducation des adultes, du programme de formation de l’Association consultative de l’industrie de Guyana (CAGI) pour l’année 2003 et du premier rapport annuel du projet de l’Agence de formation de Guyana (2002) financé par le Fond européen de développement, avec des contributions du secteur privé et soutenu par le gouvernement de Guyana. La commission prie le gouvernement de continuer de fournir des informations pratiques sur la mise en œuvre de ces projets et programmes ainsi que sur les difficultés rencontrées et les progrès accomplis pour encourager et aider toutes personnes, sur un pied d’égalité et sans discrimination aucune, à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles, comme prévu à l’article 1, paragraphe 5, de la convention. Prière également d’y inclure des informations sur les initiatives tendant à encourager la formation professionnelle des femmes en indiquant le type de formation suivie et leur pourcentage.

3. Article 5. La commission prie le gouvernement d’indiquer de quelle manière la collaboration des organisations d’employeurs et de travailleurs et, le cas échéant, d’autres organismes intéressés est assurée dans l’élaboration et l’application des politiques et des programmes d’orientation et de formation professionnelles indiquant, par exemple, la manière dont ils ont participéà l’élaboration et à la mise en œuvre des programmes et des projets cités ci-dessus.

4. Prière de fournir tous extraits, rapports ou autres éléments disponibles concernant les politiques et programmes de formation destinés à des zones déterminées ou à des branches particulières de l’activitééconomique ou à des groupes particuliers de la population, comme demandé dans le Point VI du formulaire de rapport.

Demande directe (CEACR) - adoptée 1999, publiée 88ème session CIT (2000)

1. La commission prend note des informations communiquées par le gouvernement en réponse à sa demande directe de 1994. Le gouvernement indique que la rédaction du projet de législation tendant à la création du Conseil national de l'enseignement et de la formation technique et professionnelle est achevée et que ce texte, qui a été approuvé par le Cabinet, sera prochainement soumis au Parlement. La commission saurait gré au gouvernement de bien vouloir inclure dans son prochain rapport des précisions sur les mesures prises en vue de la mise en oeuvre de la convention par l'adoption de ladite législation. Elle le prie également de faire connaître tout progrès réalisé dans le sens de l'adoption et du développement de politiques et de programmes complets et concertés d'orientation et de formation professionnelles en établissant, en particulier grâce aux services publics de l'emploi, une relation étroite entre l'orientation et la formation professionnelles et l'emploi, comme prévu à l'article 1 de la convention.

2. La commission note la déclaration du gouvernement selon laquelle le Conseil de la formation professionnelle reconnaît le déséquilibre entre hommes et femmes que présente chaque année le nombre des nouveaux apprentis diplômés, et que des initiatives ont été envisagées en vue d'améliorer la situation. La commission espère que le gouvernement communiquera dans son prochain rapport toutes informations disponibles quant aux progrès accomplis grâce aux initiatives tendant à encourager et aider les femmes à développer et à utiliser leurs aptitudes professionnelles dans leur propre intérêt et conformément à leurs aspirations, en tenant compte des besoins de la société, comme prévu à l'article 1, paragraphe 5, de la convention.

3. La commission prend note avec intérêt des indications du gouvernement concernant les activités menées par l'Association pour la formation continue. Elle espère que, dans son prochain rapport, le gouvernement continuera de fournir des informations sur les mesures prises ou envisagées afin de garantir que les enfants, les adolescents et les adultes aient accès à une information exhaustive et à une orientation professionnelle aussi large que possible, conformément à l'article 3.

4. Veuillez fournir tous extraits, rapports ou autres éléments disponibles concernant les politiques et programmes de formation destinés à des zones déterminées ou à des branches particulières de l'activité économique, ou à des groupes particuliers de la population, comme demandé dans le Point VI du formulaire de rapport.

Demande directe (CEACR) - adoptée 1994, publiée 81ème session CIT (1994)

1. La commission a pris note des informations succinctes communiquées par le gouvernement suite à sa précédente demande directe. Elle a également pris note du rapport annuel pour 1991 du Conseil de la formation professionnelle (Board of Industrial Training), dont elle observe qu'il porte pour l'essentiel sur la formation initiale par l'apprentissage. La commission a pris note à cet égard de l'information selon laquelle des consultations étaient en cours en vue de la mise en place d'un conseil de l'enseignement technique qui succéderait aux attributions du Conseil de la formation professionnelle et de la direction de la formation technique et professionnelle du ministère de l'Education. La commission invite le gouvernement à fournir dans son prochain rapport de nouvelles informations sur l'état d'avancement de ces projets à cet égard, en précisant la manière dont il est tenu compte des objectifs de l'article 1 de la convention.

2. La commission a relevé, à l'examen des données statistiques figurant dans le rapport annuel du Conseil de la formation professionnelle, la faible proportion d'apprentis de sexe féminin. Elle saurait gré au gouvernement d'indiquer dans son prochain rapport les mesures prises ou envisagées, en application de l'article 1, paragraphe 5, pour encourager et aider les femmes à développer et utiliser leurs aptitudes professionnelles dans leur propre intérêt et conformément à leurs aspirations. La commission invite le gouvernement à se référer à ce sujet à sa demande de 1993 relative à l'application de la convention no 111.

3. Se référant à ses demandes antérieures, la commission veut croire que le prochain rapport contiendra les informations requises par le formulaire de rapport sur les mesures prises ou envisagées afin d'assurer une information complète et une orientation aussi large que possible aux enfants, aux adolescents et aux adultes, conformément à l'article 3. Prière, en outre, de communiquer les informations déjà demandées concernant les activités et les programmes de formation professionnelle de l'Association pour l'éducation des adultes (Adult Education Association), de l'Institut de formation continue des adultes (Institut of Adult and Continuing Education) et des autres instituts techniques mentionnés par le gouvernement dans ses rapports précédents.

Demande directe (CEACR) - adoptée 1993, publiée 80ème session CIT (1993)

La commission a pris note des informations succinctes communiquées par le gouvernement suite à sa précédente demande directe. Elle note que des consultations sont en cours en vue de la mise en place d'un conseil de l'enseignement technique qui succéderait aux attributions du Conseil de la formation professionnelle (Board of Industrial Training) et de la direction de la formation technique et professionnelle du ministère de l'Education. La commission invite le gouvernement à fournir dans son prochain rapport de nouvelles informations sur l'état d'avancement de ses projets à cet égard, en précisant la manière dont il est tenu compte des objectifs de l'article 1 de la convention.

Se référant à ses demandes antérieures, la commission veut croire que le prochain rapport du gouvernement contiendra les informations requises par le formulaire de rapport sur les mesures prises ou envisagées afin d'assurer une information complète et une orientation professionnelle aussi large que possible aux enfants, aux adolescents et aux adultes, conformément à l'article 3. Prière, en outre, de transmettre un exemplaire du rapport annuel du Conseil de la formation professionnelle auquel le gouvernement fait référence dans son rapport, et de communiquer les informations déjà demandées concernant les activités et les programmes de formation professionnelle de l'Association pour l'éducation des adultes (Adult Education Association), de l'Institut pour la formation continue des adultes (Institute of Adult and Continuing Education) et des autres instituts techniques mentionnés par le gouvernement dans ses rapports précédents.

Demande directe (CEACR) - adoptée 1992, publiée 79ème session CIT (1992)

La commission note que le rapport n'a pas été reçu. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:

1. Article 1 de la convention. Prière de fournir des informations supplémentaires sur la manière dont la concertation effective entre les programmes de formation et le service de placement du ministère du Travail est assurée.

2. Prière également d'inclure copie des textes approuvés par le Conseil de la formation professionnelle (Board of Industrial Training) définissant les objectifs de la politique en matière d'éducation technique et de formation professionnelle afin de permettre à la commission d'examiner la façon dont il est tenu compte des facteurs mentionnés aux paragraphes 2 et 4 du même article.

3. Article 3. La commission a noté que l'information sur l'orientation professionnelle assurée par le ministère de l'Education n'était pas encore disponible. Elle veut croire que le prochain rapport du gouvernement contiendra des données sur les différentes mesures prises et les progrès effectués afin d'assurer qu'une information complète et une orientation aussi large que possible sont dispensées aux personnes concernées.

4. Article 4. Prière de communiquer extraits de rapports, études et enquêtes, données statistiques, etc. concernant les activités et programmes de formation professionnelle de l'Association pour l'éducation des adultes (Adult Education Association) de l'Institut pour la formation continue des adultes (Institute of Adult and Continuing Education) et des autres instituts techniques mentionnés par le gouvernement dans ses rapports.

5. Article 5. Prière de communiquer copie des recommandations et de tout rapport éventuellement disponible sur les activités du Conseil de la formation professionnelle.

6. Partie V du formulaire de rapport. La commission a noté avec intérêt que le Bureau avait fourni une assistance au gouvernement afin de mettre au point des modules de formation (MES, Modules of Employable Skills). Elle prie le gouvernement d'indiquer toute action prise en conséquence de l'assistance technique dont a bénéficié le pays.

Demande directe (CEACR) - adoptée 1990, publiée 77ème session CIT (1990)

La commission a pris note des informations succinctes transmises par le gouvernement en relation avec sa demande directe précédente. Elle saurait gré au gouvernement de fournir des informations supplémentaires prévues par le formulaire de rapport sur les points suivants:

1. Article 1 de la convention. Prière de fournir des informations supplémentaires sur la manière dont la concertation effective entre les programmes de formation et le service de placement du ministère du Travail est assurée.

2. Prière également d'inclure copie des textes approuvés par le Conseil de la formation professionnelle (Board of Industrial Training) définissant les objectifs de la politique en matière d'éducation technique et de formation professionnelle afin de permettre à la commission d'examiner la façon dont il est tenu compte des facteurs mentionnés aux paragraphes 2 et 4 du même article.

3. Article 3. La commission a noté que l'information sur l'orientation professionnelle assurée par le ministère de l'Education n'était pas encore disponible. Elle veut croire que le prochain rapport du gouvernement contiendra des données sur les différentes mesures prises et les progrès effectués afin d'assurer qu'une information complète et une orientation aussi large que possible sont dispensées aux personnes concernées.

4. Article 4. Prière de communiquer extraits de rapports, études et enquêtes, données statistiques, etc. concernant les activités et programmes de formation professionnelle de l'Association pour l'éducation des adultes (Adult Education Association) de l'Institut pour la formation continue des adultes (Institute of Adult and Continuing Education) et des autres instituts techniques mentionnés par le gouvernement dans ses rapports.

5. Article 5. Prière de communiquer copie des recommandations et de tout rapport éventuellement disponible sur les activités du Conseil de la formation professionnelle.

6. Partie V du formulaire de rapport. La commission a noté avec intérêt que le Bureau avait fourni une assistance au gouvernement afin de mettre au point des modules de formation (MES, Modules of Employable Skills). Elle prie le gouvernement d'indiquer toute action prise en conséquence de l'assistance technique dont a bénéficié le pays.

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